Sur les terres fertiles d’Arsenal, en bordure de route, une petite pancarte artisanale annonce Kaesia Bio Farming. Une porte grillagée, légèrement bancale, sépare le monde verdoyant de Kaesia L’Aiguille du passage incessant des voitures. Kaesia est une jeune entrepreneure de 23 ans dévouée à la culture biologique et à la transformation alimentaire. Ses journées se suivent et se ressemblent, un peu comme une horloge qui, jour après jour, marque le temps inlassablement. Dès 6 heures du matin, la jeune fille arpente sa plantation, une étendue de deux arpents où légumes, plantes médicinales et fruits foisonnent. Loin de toute contrainte horaire, elle s’engage pleinement à faire de son lopin de terre – fusion harmonieuse de la nature et de son esprit d’entreprise – un symbole de durabilité, de vitalité et d’authenticité. Il est 13 heures. Vêtue d’un t-shirt, qui porte les traces de son dur labeur, qu’elle a assorti à un short pratique pour affronter les rigueurs du travail à la ferme et coiffée d’un chapeau pour se protéger des rayons ardents du soleil, Kaesia a tout de l’agricultrice déterminée. Ses bottes, couvertes de terre, sont le reflet des heures passées à cultiver les rêves poussant dans son champ. Sa peau arbore une teinte brune, témoignage du lien inébranlable qu’elle entretient avec la nature. Derrière son apparence décontractée se cache pourtant une assurance timide et une modestie comme on en voit rarement. Elle nous invite à découvrir son sanctuaire vivant, là où la terre et sa passion s’entremêlent pour créer un jardin unique en son genre. Papayes juteuses, citronnelle parfumée, aubergines gorgées de saveurs, feuilles tendres de lalos, son exploitation déborde d’une richesse naturelle. Dans un monde où les régimes prédominent, Kaesia offre une approche différente. Elle propose plutôt des produits que chacun.e peut choisir en fonction de ses préférences alimentaires. Sa farine, exempte de gluten et adaptée aux végétariens, devient une toile vierge pour des créations culinaires saines et savoureuses. Fruits à pain, manioc, patates, corollas sont transformés en farines nutritives pour offrir un éventail de possibilités à celles et ceux qui privilégient une cuisine équilibrée. Mais les compétences de Kaesia ne s’arrêtent pas là ; elle crée également de délicieuses sauces. Riches en saveurs, sa ratatouille et son pesto sont dénués de conservateurs. Elle propose également des herbes aromatiques, des soupes déshydratées, des cubes de bouillon, des boissons ainsi que des achards et des confits. L’abondance de légumes et de fruits saisonniers est une aubaine pour Kaesia. «Le surplus est habilement utilisé pour éviter toute forme de gaspillage et c’est une vraie valeur ajoutée pour notre entreprise florissante», souligne la jeune fille en souriant. Et autre chose intéressante, les client.es «cueillent leurs légumes. Les produits récoltés sont ensuite pesés sur une balance, une transaction authentique où chaque client.e paie selon sa propre récolte». Alors qu’on discute avec Kaesia, Patricia L’Aiguille émerge du jardin. La matriarche de la famille se joint à la conversation après nous avoir dit bonjour. «On s’organise toujours pour pouvoir concilier travail et vie familiale. Peu importe la difficulté, on n’abandonne jamais», déclare-t-elle avec force, le regard tourné vers les champs, qui entourent la ferme. Patricia se rappelle le temps où ses enfants étaient encore petits. «Je les installais dans un berceau sous un arbre pendant que je travaillais la terre», racontet-elle. Pas étonnant que Kaesia développe une passion pour l’agriculture. «Quand venait l’heure du repas, je m’arrêtais pour leur donner le biberon puis je reprenais le travail. Une fois qu’ils ont grandi, je leur ai enseigné à aimer la terre et à utiliser leurs petites mains pour la nourrir.» Kaesia révèle que c’est la nature qui la guérit. «Elle transmet des messages, ouvre l’intellect et m’insuffle la force d’accomplir des choses.» Le partage des connaissances étant son dada, elle accueille des enfants dès l’âge de 8 ans pendant les vacances scolaires, des jeunes et des adultes pour leur apprendre l’art de cultiver la terre. Et quand elle n’est pas à la ferme, elle partage son temps entre la moto, les balades, les animaux, la lecture, la couture, le tricot et le dessin. Sa vie, ajoute-t-elle, est loin d’être aisée car son métier est particulièrement ardu. Mais Kaesia s’accroche et elle est heureuse. «Pas de manucure pour moi. Ma satisfaction trouve son épanouissement dans la terre, parmi mes plantes et mes animaux. Ici, chaque tâche est effectuée manuellement, un témoignage de notre engagement envers la nature et l’authenticité de notre métier», avance-t-elle. Basée sur le principe du Zero Budget Natural Farming, sa plantation tire sa richesse du fumier des animaux qu’elle élève, «un élixir naturel qui fertilise les cultures». Et elle est bien servie car derrière le voile verdoyant s’étend une ferme grouillante de vie. Celle-ci abrite une centaine d’animaux. Parmi, des poules, des canards, des dindes, des vaches, des chèvres et la charmante vache Bella. Cette dernière, solitaire mais affectueuse, occupe une place spéciale dans leur ferme. «Chaque animal, avec sa contribution unique, devient un maillon essentiel dans la chaîne de notre écosystème agricole. Par exemple, loin d’être un déchet, les excréments se transforment en un précieux fertilisant, nourrissant la terre qui nous nourrit à son tour», renchérit la jeune Kaesia. Ainsi donc, grâce à cette harmonie entre la ferme et la plantation, leur activité prospère. Car à la ferme, on croit ferme dans les principes d’une agriculture respectueuse de la nature.
Et s’il vous était donné, parents en devenir, de marquer l’arrivée de bébé en faisant un geste pour la planète… Comment ? En participant au beau projet de reforestation de La Citadelle lancé par Bébé Câlin en partenariat avec FORENA.
Ah, la saint-valentin ! voilà un événement du calendrier qui mérite une sortie spéciale empreinte d’émotions et de saveurs. on vous donne les raisons pour privilégier une escapade gourmande à deux.
Préparez-vous à être emporté.e dans un tourbillon de verdure et de fraîcheur. Une nouvelle ère de beauté consciente s’annonce du 29 septembre au 1er octobre 2023, au Bagatelle Mall avec Livewell, l’emblème du bien-être, de la santé et de la beauté.
Indépendance préservée, bien-être assuré. on vous livre les clés pour créer un environnement propice au bonheur et à la sérénité des aîné.es au coeur même du foyer.
Sur les terres fertiles d’Arsenal, en bordure de route, une petite pancarte artisanale annonce Kaesia Bio Farming. Une porte grillagée, légèrement bancale, sépare le monde verdoyant de Kaesia L’Aiguille du passage incessant des voitures. Kaesia est une jeune entrepreneure de 23 ans dévouée à la culture biologique et à la transformation alimentaire. Ses journées se suivent et se ressemblent, un peu comme une horloge qui, jour après jour, marque le temps inlassablement. Dès 6 heures du matin, la jeune fille arpente sa plantation, une étendue de deux arpents où légumes, plantes médicinales et fruits foisonnent. Loin de toute contrainte horaire, elle s’engage pleinement à faire de son lopin de terre – fusion harmonieuse de la nature et de son esprit d’entreprise – un symbole de durabilité, de vitalité et d’authenticité. Il est 13 heures. Vêtue d’un t-shirt, qui porte les traces de son dur labeur, qu’elle a assorti à un short pratique pour affronter les rigueurs du travail à la ferme et coiffée d’un chapeau pour se protéger des rayons ardents du soleil, Kaesia a tout de l’agricultrice déterminée. Ses bottes, couvertes de terre, sont le reflet des heures passées à cultiver les rêves poussant dans son champ. Sa peau arbore une teinte brune, témoignage du lien inébranlable qu’elle entretient avec la nature. Derrière son apparence décontractée se cache pourtant une assurance timide et une modestie comme on en voit rarement. Elle nous invite à découvrir son sanctuaire vivant, là où la terre et sa passion s’entremêlent pour créer un jardin unique en son genre. Papayes juteuses, citronnelle parfumée, aubergines gorgées de saveurs, feuilles tendres de lalos, son exploitation déborde d’une richesse naturelle. Dans un monde où les régimes prédominent, Kaesia offre une approche différente. Elle propose plutôt des produits que chacun.e peut choisir en fonction de ses préférences alimentaires. Sa farine, exempte de gluten et adaptée aux végétariens, devient une toile vierge pour des créations culinaires saines et savoureuses. Fruits à pain, manioc, patates, corollas sont transformés en farines nutritives pour offrir un éventail de possibilités à celles et ceux qui privilégient une cuisine équilibrée. Mais les compétences de Kaesia ne s’arrêtent pas là ; elle crée également de délicieuses sauces. Riches en saveurs, sa ratatouille et son pesto sont dénués de conservateurs. Elle propose également des herbes aromatiques, des soupes déshydratées, des cubes de bouillon, des boissons ainsi que des achards et des confits. L’abondance de légumes et de fruits saisonniers est une aubaine pour Kaesia. «Le surplus est habilement utilisé pour éviter toute forme de gaspillage et c’est une vraie valeur ajoutée pour notre entreprise florissante», souligne la jeune fille en souriant. Et autre chose intéressante, les client.es «cueillent leurs légumes. Les produits récoltés sont ensuite pesés sur une balance, une transaction authentique où chaque client.e paie selon sa propre récolte». Alors qu’on discute avec Kaesia, Patricia L’Aiguille émerge du jardin. La matriarche de la famille se joint à la conversation après nous avoir dit bonjour. «On s’organise toujours pour pouvoir concilier travail et vie familiale. Peu importe la difficulté, on n’abandonne jamais», déclare-t-elle avec force, le regard tourné vers les champs, qui entourent la ferme. Patricia se rappelle le temps où ses enfants étaient encore petits. «Je les installais dans un berceau sous un arbre pendant que je travaillais la terre», racontet-elle. Pas étonnant que Kaesia développe une passion pour l’agriculture. «Quand venait l’heure du repas, je m’arrêtais pour leur donner le biberon puis je reprenais le travail. Une fois qu’ils ont grandi, je leur ai enseigné à aimer la terre et à utiliser leurs petites mains pour la nourrir.» Kaesia révèle que c’est la nature qui la guérit. «Elle transmet des messages, ouvre l’intellect et m’insuffle la force d’accomplir des choses.» Le partage des connaissances étant son dada, elle accueille des enfants dès l’âge de 8 ans pendant les vacances scolaires, des jeunes et des adultes pour leur apprendre l’art de cultiver la terre. Et quand elle n’est pas à la ferme, elle partage son temps entre la moto, les balades, les animaux, la lecture, la couture, le tricot et le dessin. Sa vie, ajoute-t-elle, est loin d’être aisée car son métier est particulièrement ardu. Mais Kaesia s’accroche et elle est heureuse. «Pas de manucure pour moi. Ma satisfaction trouve son épanouissement dans la terre, parmi mes plantes et mes animaux. Ici, chaque tâche est effectuée manuellement, un témoignage de notre engagement envers la nature et l’authenticité de notre métier», avance-t-elle. Basée sur le principe du Zero Budget Natural Farming, sa plantation tire sa richesse du fumier des animaux qu’elle élève, «un élixir naturel qui fertilise les cultures». Et elle est bien servie car derrière le voile verdoyant s’étend une ferme grouillante de vie. Celle-ci abrite une centaine d’animaux. Parmi, des poules, des canards, des dindes, des vaches, des chèvres et la charmante vache Bella. Cette dernière, solitaire mais affectueuse, occupe une place spéciale dans leur ferme. «Chaque animal, avec sa contribution unique, devient un maillon essentiel dans la chaîne de notre écosystème agricole. Par exemple, loin d’être un déchet, les excréments se transforment en un précieux fertilisant, nourrissant la terre qui nous nourrit à son tour», renchérit la jeune Kaesia. Ainsi donc, grâce à cette harmonie entre la ferme et la plantation, leur activité prospère. Car à la ferme, on croit ferme dans les principes d’une agriculture respectueuse de la nature.
L’empathie et l’envie de mieux comprendre l’humain face à une perte amène la Certified Grief Recovery Specialist à The Heart With Ears, une plateforme d’écoute et de partage. Cette fois, on a renversé les rôles : elle a parlé ; on l’a écouté.
Entrepreneure dans l’âme et femme de réseau engagée, elle est l’une des forces vives de BNI Mauritius et La Réunion. Son objectif : faire tomber les barrières et ouvrir des portes aux femmes dans le monde professionnel et entrepreneurial.
Elles sont cash. Dans leur ruche, pas de demi-mesure. La créativité et le partage d’idées se vivent pleinement. Dans le respect des individualités. Ça cogite, ça débat, ça soutient. Beaucoup. Des fois, ça pique. Dans un esprit de camaraderie, d’avancement. La sororité c’est aussi ça. Et oui, chez Beyond, ça bouillonne au féminin !
Leur chemin aurait pu ne pas se croiser. Mais il y a eu ce moment dans leur carrière, qui a convergé pour qu’elles se retrouvent sous l’ombrelle d’Accenture. Et c’est là qu’épanouies, elles œuvrent désormais à faire bouger les lignes dans le monde du travail.
Connaissez-vous La Cuisine des amoureux, un livre de recettes à préparer ou à déguster à deux selon l’ambiance du moment ? L’auteure, Marianne Paquin, écrit que «le bonheur du repas partagé s’ajoute à la joie de l’avoir préparé dans le désir de séduire, quand l’imagination et la fantaisie s’allient à la tendresse ou à la passion». Avouez que c’est joliment dit et que ça met l’eau à la bouche au sens propre comme au figuré… Ceci dit, pourquoi ne pas laisser l’amour s’exprimer à travers le langage délicieux de la cuisine ? Car cuisiner va bien au-delà du simple fait de préparer un repas. C’est une invitation à créer une expérience culinaire intime visant à éveiller vos sens en duo. Imaginez-vous en train de découper des ingrédients frais, de mélanger des saveurs exquises et de partager des moments de tendre complicité derrière les fourneaux. Cuisiner ensemble devient ainsi une danse intime où chaque geste dévoile une certaine tendresse et une proximité. Cette pièce de la maison devient alors le théâtre d’une célébration à deux, où la complicité se transforme en un véritable festin d’affection. D’autant plus que la cuisine offre une toile vierge pour personnaliser chaque plat selon vos envies. Choisissez des ingrédients qui racontent votre histoire, des épices qui éveillent des souvenirs et créez des plats qui sont une extension de votre amour. Sachez également que les arômes envoûtants qui emplissent la cuisine créent souvent une atmosphère enivrant et un terrain de jeu sensoriel où chaque note olfactive est une caresse. Voyez donc chaque plat concocté comme une anecdote, chaque moment passé à cuisiner ensemble comme une image gravée dans votre mémoire. Oui, la cuisine est un excellent catalyseur de moments précieux et de souvenirs. Alors, faites que ça chauffe !
Du romantisme d’une délicate dentelle à la passion délicieusement débridée d’une coupe audacieuse, une belle lingerie fait toujours mouche. le choix, lui, dépendra de votre personnalité…
Trouver le présent qui lui plaira à coup sûr peut s’avérer être un défi de taille. mais pas de panique, on vous aide à affiner vos recherches !
LA MAGIE RÉSIDE DANS CHAQUE DÉTAIL. Y COMPRIS DANS UN LOOK À COUPER LE SOUFFLE. ROMANTIQUE OU SEXY, L’IMPORTANT EST DE CAPTIVER LE COEUR DE VOTRE BIEN-AIMÉ. VOICI COMMENT FAIRE.
La perfection jusqu’au bout des ongles En quête d’une expérience des soins ongulaires et du regard inoubliable ? Ne cherchez plus, on a la réponse pour vous.
Imaginez un menu exquis dégusté en amoureux dans une ambiance feutrée. Le restaurant, paré de romantisme, tisse une bulle d’intimité idéale pour célébrer votre amour. Dans cet écrin choisi avec soin, chaque détail oeuvre à métamorphoser un simple dîner en une symphonie de saveurs dénuée de tout stress. Le choix du lieu ne relève pas simplement d’une question de praticité, mais constitue une véritable déclaration. C’est exprimer à votre partenaire à quel point il.elle est exceptionnel.le et comment cette soirée l’est tout autant. Le lieu devient ainsi un complice dans la création de souvenirs durables, une toile de fond élégante pour votre histoire d’amour. Mais ce n’est pas tout ! Sortir pour dîner en ce jour spécial, c’est aussi s’octroyer une pause bien méritée. Pas de préparation en amont. On dit adieu à la corvée vaisselle aussi. Pour dire un grand OUI à une plongée à deux le temps d’une expérience gustative. Un moment où le seul souci est de se délecter mutuellement, sans aucune contrainte. Avouez-le, une telle pause constitue un luxe bien mérité ! Enfin, il y a quelque chose de féerique à se laisser surprendre, à vivre l’inattendu. Une soirée à l’extérieur, où le menu est une découverte et le cadre une révélation, crée des souvenirs pétillants et insouciants. Alors pour cette Saint-Valentin, laissez-vous séduire par l’idée d’un dîner hors de chez vous. Immergezvous dans une expérience sensorielle, tissez des souvenirs uniques et célébrez l’amour… à table. Après tout les histoires d’amour les plus mémorables commencent toujours par un délicieux repas partagé à deux.
Ah, la saison festive ! cette période a l’art de faire ressortir la bonne, la brute et la truande chez certaines. C’est le cas de zoé, qui incarne les trois rôles à la fois.
Le Jour des caméléons, publié aux Éditions Grasset, est qualifié de «roman rageur» sur le site du journal français Le Monde. De passage à Maurice, l’auteure retrace la genèse de son tout dernier livre pour Essentielle.
La petite sirène nage en eaux troubles. entre applaudissements pour la diversité et propos racistes, le retour à l’enfance se complique.
Journée idyllique. Il fait beau. Le jardin foisonne de couleurs. Les oiseaux chantent. La nature nous fait même l’aumône d’une légère brise marine pour contrer les 30 degrés à l’ombre des cocotiers. Bref, ça fl eure bon l’été et pour ne rien gâcher, Zules se tient à carreau. «Zoé» n’a pas résonné une seule fois dans la maison depuis le réveil. Du coup, chacun mène sa petite vie pépère, quoi ! Affalée, smartphone en main, j’en profi te pour traquer les dernières bonnes affaires sur le Net en vue d’une virée shopping estivale. Ça fait un bail que je n’ai pas renouvelé ma garde-robe. La dernière fois remonte à l’été d’avant. Oui, je suis devenue une adepte de la slow-fashion. Et oui, il faut bien contribuer à diminuer notre impact carbone, les déchets et autre bêtise, qui mettent à mal notre plus si belle île / planète. Donc, je suis en full Sherlockette mode quand je tombe sur une appli racoleuse promettant de vous livrer la clé magique de l’élégance façon cinquantenaire. Intriguée, la quinqua tapie tout au fond de moi fonce dessus en se disant qu’elle va faire le plein d’inspis pré-shopping. Sauf que je découvre une série de tableaux insipides de ‘don’ts’ et de ‘do’s’ mémérisants, qui feraient pâlir d’envie la ringardise ! En gros, si vous avez la cinquantaine, il vous faut bannir les couleurs et les imprimés, les coupes trop moulantes, les bodies, les petits tops sympatoches, les pulls près du corps, le jean fl are, le pantalon coulissant, le style geek, le combo sport, le duo short-baskets, les accessoires décalés, etc., etc. En somme, on vous demande de gommer tout brin de folie, d’épouser la platitude, d’affi cher la glauque attitude parce qu’à 50 ans une femme doit fondre dans la grisaille malgré l’été. Le comble de l’oxymore ? Ladite appli a pour nom ageless.place. Non mais, quel culot ! Ageless (sans âge, intemporel), qui fait son beurre en catégorisant les femmes selon leur tranche d’âge. Non seulement stupide, mais discriminant ! Pourtant il n’y a pas plus simple : on s’habille comme on veut et on nous laisse vivre ! Sans jugement. Sans stigmatisation. Sans tentative d’embrigadement. Car qu’il soit boudiné, élancé, mince, maigrichon, voluptueux, ridé, fl asque, Black Blanc Beur pour reprendre le titre du fi lm de Mathieu Ponchel, c’est notre corps et on est en droit d’en disposer ! Puis, avouez qu’avec 50 balais au compteur, on est en âge de savoir ce qu’on aime ou pas. Conclusion, si les pseudo-stylistes d’ageless et autres n’ont toujours pas compris que le style relève d’un état d’esprit et non de l’âge, c’est qu’ils méritent 50 coups de balai. Sinon, à nous les folies vestimentaires cet été !
Crop pulls, deux-pièces, pantalons fl uides, trench coats, boots, talons, couleurs chaudes… L’hiver intemporel se dévoile au coeur de l’écrin chic et feutré du Labourdonnais Waterfront Hotel pour faire sensation.
En découvrant ou redécouvrant, douze produits aussi bluffants qui’incontournables qui vous feront plaisir
À logo, à message, rock, arty, brodé ou personnalisé, le tee-shirt imprimé fait son grand retour pour répondre à toutes vos envies de style allant du look bohème au chic, casual ou grunge. La preuve en quatre looks.
Sephora, notre as du Système D, vous propose quatre façons de porter le tee-shirt oversized comme une vraie modeuse. N’hésitez pas à piquer celui de votre conjoint car tous les moyens sont bons quand on est confinée.